Réglagefin des voiles. download Plainte . Transcription . Réglage fin des voilesLe réglage de la voilure consiste à modifier l'orientation et la forme des voiles en fonction de la force et de la direction du vent, ainsi que de l'état de la mer. L'objectif est que le voilier puisse avancer le plus rapidement possible, soit en disposant d'une force propulsive maximale en disposant du meilleur compromis force propulsive / force latérale faisant gîter le voilier. Principes généraux[modifier] L'objectif de ce réglage est d'obtenir un écoulement attaché non décollé du vent sur l'ensemble de la voile aux allures du prés et travers ou seulement au niveau du bord d'attaque de la voile aux allures portantes. Le réglage d'une voile consiste à l'orienter par rapport à la direction du vent calage global des profils de la voile. On agit en bloc sur l'ensemble de la voile, ou bien on modifie cette orientation selon la hauteur c'est le vrillage calage variable des profils, généralement décroissant en hauteur la voile est plus "ouverte" en haut. Ce réglage est le plus important. à adapter le creux la cambrure des profils à la demande de force propulsive. Le réglage de la voile par rapport au vent dépend de deux facteurs du calage des profils par rapport au bateau, c'est le réglage proprement dit, de l'orientation du bateau par rapport au vent dont la direction fluctue, c'est le rôle du barreur. Un réglage plus fin consistant à adapter le creux et le vrillage et, dans le cas du spinnaker, à régler son positionnement en hauteur, permet d'obtenir un gain de vitesse qui peut se monter à 10-20% de la vitesse obtenue grâce au premier réglage. Le réglage des voiles doit être revu en cas de changement de direction du voilier, si la direction ou la force du vent se modifient, lorsque l'état de la mer évolue vagues plus fortes, ou plus creuses, changement d'orientation des vagues. La modification du vent peut être provoquée par la configuration de la côte ou, en régate, par la présence de voiliers proches. [modifier] Contrôle du calage, du vrillage et du creux[modifier] Pour bien faire, ces trois réglages devraient être séparés. C'est presque le cas pour une grand-voile dont le palan d'écoute est monté sur un rail transversal barre d'écoute la position du chariot du palan contrôle le calage de l'ensemble de la voile, la tension de l'écoute contrôle le vrillage de la voile. On peut agir aussi de manière séparée sur les creux des profils, en bas au niveau de la bôme et plus haut en modifiant la courbure du mat le cintrage du mat aplatit la voile. Pour une voile d'avant non tenue sur une bôme gênois, foc, le réglage est beaucoup plus difficile, car les trois contrôles ne sont pas séparés. Une modification de la tension d'écoute modifie à la fois le calage global de la voile, le creux du bas de la voile et son vrillage … le réglage d'un foc, surtout s'il est haut et étroit forte influence de la tension d'écoute sur le vrillage, est particulièrement "pointu" et suppose une bonne compréhension de ce qui se passe. L'orientation de la voile par rapport à la direction du vent est réalisée à l'aide des écoutes écoute de foc pour les voiles d'avant et écoute de grand-voile pour la voile éponyme. Le réglage s'effectue en bordant ou choquant l'écoute. Lorsque la voile est trop choquée ou que le barreur modifie trop sa route en lofant, elle faseye. L'orientation des pennons permet, à certaines allures, de repérer un écoulement non attaché sur l'intrados ou l'extrados de la voile. Le loch est également un bon indicateur, l'augmentation de la vitesse à cap et vent constant indiquant a priori un meilleur réglage. L'orientation du spinnaker nécessite l'utilisation d'un grand nombre de bouts, du fait de la présence d'un point d'amure "mobile" l'extrémité du tangon. On sera amené à modifier le réglage de l'écoute du bras au vent, de l'écoute, du hale-bas et de la balancine de tangon. Réglage du creux et du vrillage[modifier] Le réglage du creux et du vrillage est destiné à adapter la forme de la voilure à l'allure comme pour le premier réglage mais également à la force du vent et à l'état de la mer. Ce réglage est obtenu en agissant sur les points de tire des écoutes qui sont réglés pour la grand-voile comme pour la voile d'avant par le chariot d'écoute les drisses de grand-voile et de voile d'avant le pataras qui agit sur la courbure de l'étai et du mât et donc en contrecoup sur la tension du guindant de la voile d'avant et de la grand-voile les nerf de chutes qui agissent sur la chute voir aussi[modifier] Allures Gréement
Miseà jour. Votre bateau avance en fonction du vent qu'il reçoit. Sur un voilier, l’allure correspond à la direction dans laquelle le bateau avance par rapport au vent. Comme on ne peut pas contrôler la direction du vent, il faut adapter la configuration des voiles selon que le vent vient de l’arrière, du côté ou de l’avant du bateau.
La voile Faire de la voile » consiste à orienter et régler les voiles d’un bateau selon les conditions de vent et de mer. Il est donc très important de savoir sentir » ces deux éléments. Les allures L’allure d’un voilier est la direction de la route qu’il suit, par rapport au vent. Chacune de ces directions porte un nom. Aussi quand un voilier se laisse pousser par le vent, il navigue au vent arrière ». S’il reçoit le vent de trois quart arrière, il est au grand largue » parce que les voiles sont largement larguées, loin de la coque. Quand le vent arrive juste de côté, on dite que le voilier fait route au vent de travers » - et quelquefois au largue ». Enfin, quand le voilier fait route vers la direction du vent, il navigue au près » sous-entendu au plus près de la direction du vent ». La voilure Le St Saens est muni de 3 voiles une grand voile, un génois et un spi spinnaker. L’utilisation de telle ou telle voile dépend essentiellement de la vitesse du vent. Par vent faible à modéré on utilise le spi, qui est une très grande voile 120 m2 lâche. Le spi peut être utilisé avec ou sans la grand voile. Lorsque le vent forcit » on le remplace par le génois, de surface inférieure 60 m2. De la même manière, plus le vent est fort plus on réduit les surfaces de voiles. Pour le génois, on l’enroule partiellement. En ce qui concerne la grand voile, on peut prendre un, deux ou trois ris ». Les virements de bords et réglages de voiles se font à l’aide des écoutes. Les drisses permettent de hisser ou affaler descendre les voiles. Outre les voiles, deux autres éléments sont indispensables sur un voilier la quille et le gouvernail. La quille permet de maintenir le bateau en équilibre et dans la direction à prendre. Sans la quille, un voilier dériverait avec le vent. Le gouvernail permet quand à lui de changer d’orientation, de trajectoire. Les principales manœuvres Le virement de bord Pour franchir la direction d’où souffle le vent, on exécute un virement de bord vent devant. La difficulté de cette manœuvre est de conserver une vitesse suffisante pour franchir le lit du vent ». L’empannage On peut également faire un virement de bord vent arrière. Dans ce cas il s’agit d’un empannage, ce que les vieux marins appellent virer lof pour lof ». L’empannage est une manœuvre déconseillée par vent fort car le virement se fait de façon assez brusque, ce qui peut entraîner des dégâts matériel et des accidents corporels. En effet, le risque est d’être heurté par la bôme. De plus il est plus délicat de maîtriser la trajectoire du bateau compte tenu de l’augmentation de vitesse soudaine. Prendre la cape Quand les conditions de mer et de vent deviennent difficiles et dangereuses, il ne faut plus songer qu’à assurer la sécurité du bateau. Lorsque l’on se trouve au large, il faut trouver le moyen de ralentir le bateau, tout en lui permettant d’affronter les lames » sous le meilleur angle. Le principe de prendre la cape est d’orienter le bateau de telle sorte qu’il épaule les vagues avec l’arrondi avant de sa carène, afin de les chevaucher plutôt que de les défoncer de son étrave. TECHNIQUE Se préparer et préparer le bateau aux départs et arrivées, à la voile et au moteur. Comprendre et utiliser la propulsion des voiles. Barrer aux différentes allures. Conserver une trajectoire fixe. Régler l'ouverture des voiles selon l'allure. Réaliser les changements d'amure. Se déplacer lors des manœuvres.Réglage des voiles en cas de changement de vitesse On considére un vent courant et un vent réel stables. Que se passe t-il lorsqu’un dériveur accélère et lorsqu’il ralentit ?Accélération vent vitesse vv qui augmenteRalentissement vent vitesse vv qui diminueAllure de près VecteursVecteursAu près, si on accélère, le vent apparent augmente et refuse. Pour garder le bon réglage il faut border ou portante VecteursVecteursAu portant, si on accélère, le vent apparent augmente et refuse. Plus le dériveur est rapide, on peut avoir un vent apparent très lofé au on avance au vite au vent arrière, plus le vent apparent est polaire de vitesse Afin d’illustrer cela, voici la polaire de vitesse d’un Laser solo. Cette courbe est construite en relevant la vitesse du bateau selon l’angle par rapport au vent réel. Il s’agit des valeurs de vitesse maximum théorique, et les atteindre dépendra du niveau du de vitesse Laser solo standardLa vitesse maximale est obtenue pour 105°-110° pour 30 kts de vent. Dans l’ensemble, l’allure la plus rapide est le bon bateau ne remonte pas mieux qu’à 30° du vent et au vent arrière sa vitesse est d’environ 60% du vent réel.Lallure d’un voilier désigne la direction d’où provient le vent. Ainsi un bateau naviguant vent arrière reçoit le vent de son arrière. A chaque allure ses caractéristiques et son réglage de voiles. Les allures sont symétriques selon que l’on reçoive le vent de gauche (bâbord amures) ou de droite (tribord amures).
Qu'est-ce que la mise en sécurité ? Voir nos différents stages La mise en sécurité dans la pratique de la voile concerne toutes les dispositions à prendre pour protéger le bateau et son équipage d'une situation dangereuse. Il s'agit donc souvent de conditions de gros temps auxquelles un chef de bord et son équipage doivent répondre de la manière la plus appropriée possible. Voici quelques exemples de mesures de mise en sécurité. réduction voilure mise à la cape Réduction de voilure Quand le vent monte, il est nécessaire de réduire la voilure. On réduira la voilure En anticipation pour éviter une situation à risque -à l'approche d'un grain en prévision de rafales violentes -avant que la nuit tombe si l'on souhaite éviter que les équipiers se déplacent en pied mât dans l'obscurité -en prévision de toute situation où le vent risque de forcir passage d'un cap, d'un goulet où le vent s'accélère, etc .En réaction -lorsque la barre devient dure » et rend le bateau difficile à diriger -lorsque le bateau à tendance à se coucher et commence à pousser de l'eau »Prise de ris Prendre un ris consiste à réduire la surface de la grand-voile en l'abaissant d'une ou plusieurs bandes de ris pour maintenir le bateau manoeuvrant lorsque le vent monte. Pour ce faire -choquer écoute et hâle-bas de grand-voile -choquer la drisse de grand-voile jusqu'à mettre l'oeillet du premier ris sur le croc situé sur la bôme en pied de mât -étarquer la drisse de grand-voile tension verticale -border la bosse de ris correspondante au ris que l'on souhaite prendre tension horizontale -reprendre la tension des autres bosses de ris et ranger les bouts en pied de mât pour éviter d'engager l'hélice en cas de chute d'un cordage à la mer -border écoute et hâle-bas -reprendre la route souhaitéeRéduire un génois sur enrouleur Pour réduire un génois monté sur enrouleur -amener le bateau au grand largue pour réduire la pression du vent apparent sur la voile -choquer l'écoute en grand pour que la voile faseye totalement jusqu'au point d'écoute -border à la main le bout de l'enrouleur avec si possible deux tours au winch en sens horaire évite les à-coups sur les mains quand le vent est fort Nota bene éviter d'utiliser une manivelle de winch pour rouler une voile d'avant, sous peine de casser le système d'enrouleur. Voir nos différents stages Allures de sauvegarde Le terme allures de sauvegarde » désigne différentes options possibles lorsque l'état du vent et de la mer ne permettent plus de diriger le bateau correctement. Dans ces situations de gros temps, l'objectif est de protéger le bateau et son équipage en attendant que les choses se calment. Dans des conditions dangereuses, chaque bateau réagit différemment. Les exemples ci-dessous ne constituent pas une liste exhaustive des possibilités de protection du bateau en cas de gros chef de bord garde donc l'entière responsabilité de ses décisions en fonction des caractéristiques de son bateau, de l'état de son équipage, du vent et de la mer. Il n'y a donc pas de recette toute faite mais une démarche d'analyse à mettre en ?uvre, souvent dans une logique de test, pour mettre son bateau en sécurité face aux contraintes de chaque situation. Mise à la cape et autres mises en securité La mise à la cape consiste à immobiliser » le bateau en navigation. Cette man?uvre permet de lâcher la barre à condition qu'elle soit bloquée dans la bonne position pour se consacrer à autre chose se reposer, soigner un blessé, s'alimenter, distingue la cape courante de la cape courante Pour se mettre la cape courante on procède comme suit -lofer pour amener le bateau au près -virer de bord sans toucher à l'écoute de génois -choquer la grand-voile en grand -bloquer la barre en position de lof maximum sous le vent dans le cas d'une barre franche, au vent dans le cas d'une barre à roue.L'effet de la barre et du génois s'opposent, la grand-voile est neutre. Le bateau se stabilise à une vitesse très réduite entre le vent de travers et le près bon plein, selon le réglage de la voile d'avant. Nota bene Il est possible de pratiquer la cape courante avec seulement une voile d'avant ou une grand-voile réduite. Il faudra alors trouver le bon réglage entre tension d'écoute et angle de barre pour préserver le bateau de l'assaut des vagues. Dans une mer formée, il est toujours préférable d'orienter le bateau plutôt au près que travers à la vague. Cape sèche La cape sèche fonctionne sur le même principe que la cape courante, sauf que le bateau est à sec de toile, voiles affalées. La cape sèche est donc plus utilisée quand le vent est très fort. Certains navigateurs déconseillent cette man?uvre, d'autres comme Adlard Coles disent l'avoir souvent pratiquée dans le gros temps. Il appartient donc à chacun de faire ses essais pour en tirer ses propres conclusions selon le comportement de chaque flottante L'ancre flottante est un dispositif de toile en forme de parachute d'où son nom anglais para-anchor » qui permet de ralentir la dérive du bateau. Utilisée par certains pêcheurs, elle peut s'avérer utile sur les voiliers habitables dans le gros voire très gros temps. Installée à l'arrière du bateau, l'ancre flottante freine le bateau. En cas de mer très formée creux supérieurs à 3 mètres avec vagues déferlantes, de nombreux marins préfèrent l'installer par l'avant pour maintenir l'étrave face à la vague pour améliorer le confort et prévenir d'éventuels dégâts causés à l'arrière du bene La plupart des ancres flottantes disponibles sur le marché français sont destinées à une utilisation relativement légère type pêche de loisir et ne sont pas adaptées au très gros temps. Une ancre flottante doit être extrêmement robuste et équipée d'un dispositif de mise en ?uvre bout ou sangle de traction proportionnel à la taille et au poids du bateau et adapté à de très fortes contraintes fuite Prendre la fuite consiste à naviguer au portant afin de préserver les efforts du bateau. Par vent très fort, certains skippers expérimentés ajoutent également des traînards » longues amarres filées par l?arrière ou une ancre flottante pour ralentir le bateau. Cette technique peut être intéressante lorsqu'on a de l'eau à courir sous le vent et que les vagues ne sont pas trop agressives pour le cockpit. En effet plusieurs bateaux ont coulé après que la porte de la descente, bien que fermée, ait été défoncée par une déferlante. Une porte de descente solide ou renforcée est donc un gage de sécurité pour toute navigation dans le gros temps. Un autre inconvénient de la fuite est qu'elle peut nécessiter la présence d'un barreur si le pilote automatique est trop faible pour maintenir le cap, ce qui peut induire une fatigue physique importante et des risques supplémentaires pour le barreur s'il est exposé à de fortes déferlantes par l'arrière. Pour résumer, nous dirons que la fuite est plus recommandée par vent fort tant que la mer reste maniable et sous voile d'avant seule, la grand-voile étant affalée et solidement arrimée sur la bôme, celle-ci étant de sécurité Quel que soit le niveau de préparation d'un bateau, une panne de moteur peut toujours survenir, ne serait-ce qu'à cause d'un bout ou un filet de pêche engagé dans l'hélice. Si cette situation survient dans une baie ou un port où la man?uvre à la voile est restreinte, mieux vaut bien sûr mouiller l'ancre que d'aller à la côte. Avant de partir, il appartient au chef de bord de s'assurer qu'il puisse mouiller rapidement en cas d' L'empennelage consiste à mouiller une ancre plus petite en avant de l'ancre principale, les deux étant reliées par quelques mètres de chaîne. Si ce dispositif peut améliorer la tenue d'un mouillage, il peut s'avérer délicat voire dangereux à remonter à bord si l'ensemble vient à déraper. Empenneler revient donc à faire un pari sur la bonne tenue du système, lequel était mieux adaptable aux anciennes ancres à jas. L'empennelage peut tout de même être intéressant pour sécuriser un mouillage de long terme... à condition de mettre le paquet !Affourcher Affourcher consiste à mouiller deux ancres à un certain angle l'une de l'autre pour limiter le rayon d'évitage rotation autour d'une ancre. Pour ce faire on mouille une première ancre puis on mollit la chaîne afin d'aller mouiller une deuxième bene L'une des deux chaînes doit toujours être plus molle que l'autre sous peine de déraper. Les deux ancres ne vont pas travailler en même temps. Ce dispositif ne va donc pas améliorer la tenue du mouillage en cas de vent fort mais peut aider à diminuer le rayon d'évitage si le vent tourne. On mouillera la deuxième ancre avec la chaîne détendue du côté ou le vent doit tourner. Equipements Individuels de Flottaison Les Equipements Individuels de Flottaison ou EIF désignent les aides à la flottabilité, les gilets de sauvetages et les gilets de sauvetage peuvent être gonflables ou à flottabilité permanente type mousse.Les gilets de sauvetage gonflables, appelés plus communément gilets automatiques » sont beaucoup plus ergonomiques et prisés des plaisanciers. Ces EIF se gonflent automatiquement en cas de chute dans l'eau grâce à une cartouche d'air comprimé. En cas de défaillance le gonflage peut être déclenché manuellement en tirant sur une languette généralement situé en bas à droite du gilet, ou à l'aide d'un tube de gonflage généralement placé en haut à gauche du gilet. Une fois gonflé la forme des boudins appelés poumons » doivent permettre à une personne inconsciente de garder la tête vers le haut pour gilets sont bien sûr munis d'un sifflet, d'une ceinture et d'une sangle dite sous-cutale » qui évite au gilet de remonter par le haut quand on se trouve dans l'eau. Enfin ces gilets sont munis d'une poignée de halage destinée à faciliter la récupération de la personne tombée à l' la différence des gilets de sauvetage, les brassières ne disposent que de sangles de fixations horizontales. Les brassières en mousse sont stockées dans des coffres et peu agréables à officiel des normes de flottabilité obligatoire des Équipements individuels de flottabilité pour la sécurité des navires de plaisance nouvelle Division 240, mise à jour 2017 Le niveau de performance est exprimé en newtons. La norme doit être NF-EN 12402 ou norme équivalente. L?équipement doit être adapté à la morphologie de l?utilisateur et répondre aux caractéristiques suivantes 50 newtons au moins aide à la flottabilité pour une navigation jusqu?à 2 milles d?un abri ; 100 newtons au moins gilet de sauvetage pour une navigation jusqu?à 6 milles d?un abri ; 150 newtons au moins gilet de sauvetage pour une navigation toutes zones ; 100 newtons au moins gilet de sauvetage pour les enfants de 30 kg maximum quelle que soit la distance d?éloignement d?un abri. Ces équipements sont approuvés ou bene Un moyen lumineux individuel type lampe Flash ou cyalume d?une autonomie minimale de 6 heures doit désormais être assujetti à chaque équipement individuel de flottabilité. Voir nos différents stages
Leréglage des voiles au près Le voilier est “aspiré” par le vent au près. Le réglage de la GV se calque sur celui de la voile d'avant. Les deux doivent être “parallèles” (en 3D, le profil des deux voiles doit être similaire). Observer les penons, vous permettra d'avoir une meilleure appréhension de la situation. Comment régler la Balancine ? Il faut le tendre de manière àLes bateaux n’avance pas en ligne droite… Ceux qui s’y sont déjà essayé le savent bien! Que vous soyez débutants ou de vieux loup de mer, une seule certitude vous accompagnera en mer “glisser” est le terme utilisé pour la “vraie navigation”, l’alchimie parfaite de l’équilibre entre eaux et ciel! Découvrez les secrets des routes et des allures, comment vivre pleinement une vacance en bateau à voile, aller où vous voulez et… de la façon la plus rapide. Prenez la barre des termes comme “largue”, “vent de travers” et “au près” entreront tout de suite dans votre vocabulaire. Naviguer Au près et Travers Dans chaque voyage qui se respecte, de la simple sortie journalière à la semaine aux Caraïbes, vous devez pratiquer au moins une vraie ”Au près” , sentir le bateau s’incliner et faire de beaux virages. Avec cette allure la coque prend vie et la réelle sensation de naviguer et de “comprendre le fonctionnement du voilier” est présente. Ne vous inquiétez pas si le bateau se penche sur le côté le poids de la coque sous l’eau rétablira l’équilibre et vous fera rentrer au port sains et saufs. Les bateaux disposent de coques, bulbe et barre qui permettent de remonter le vent jusqu’à 45 dégres; le plaisir nautique se cache précisément dans les rafales et dans la proue qui coupe les vagues avec précision. Il y a toujours un moment où quelqu’un à bord demande… “Mais à quelle vitesse peut naviguer ce bateau?”, pour le savoir il faut alors changer d’allure… et en trouver une avec le vent “moins contre” et… “plus en faveur”. Un marin expérimenté choisira le Travers. Ajustons les voiles et écoutons le bruissement de l’air sur la toile la coque glisse sur l’eau sans friction. Si vous naviguez en flottille c’est le moment pour défier les amis dans une mini-régate organisée à l’improviste. On va découvrir qui est le plus rapide… entre manoeuvres, virages et bombes à eau!! Largue et Grand-largue Servez-vous un Mojito et appréciez vos vacances, cette allure est la plus stable et confortable. Le Largue permet au bateau de rester “plate sur l’eau” et les voiles poussent sans exagérations. Si le vent n’est pas trop fort et les vagues sont petites la relaxation est assurée et le Largue permet de suivre la bonne direction à la meilleure des vitesses!! Si le vent augmente et les vagues deviennent plus grosses il faudra alors chercher de prendre l’avantage et, après avoir trouvé la bonne direction et la bonne sensibilité à la barre, et pourquoi pas faire un aussi peu de “surf”! Mais comment oublier la fameuse “Allure vent arrière”? Oui, vous avez bien compris, l’expression ““Avoir le vent arrière” qui indique une situation positive… c’est seulement une façon de parler qui ne s’adapte pas que aux voiliers. Il s’agit en effet d’une allure délicate et peu efficace; maintenir les voiles gonflées n’est pas facile et, même si elles restent gonflées à cause de leurs position elles opposent une forte résistance à l’avancement… A ce moment-là, mieux vaut opter pour une allure plus “élégante” ajustons les voiles et choisissons le Grand-largue. Tout de suite vous sentirez le vent dans les cheveux, plus de vitesse et le bateau est également plus réactif à la barre. Et si à bord vous avez un Gennaker la voile idéale pour cette allure, utilisez-la chaque petite rafale ajoutera un “sprint” à la navigation. Surun voilier, le chariot d'écoute est une pièce d'accastillage qui contribue au réglage des voiles d'avant et de la grand-voile.. Le chariot d'écoute de grand-voile coulisse sur une barre d'écoute placée en travers du cockpit.L'écoute de grand-voile est frappée sur ce chariot. Le déplacement du chariot, donc du point de tire de la grand-voile, permet de modifier l'équilibre du L’écoute de grand voileLa barre d’écouteLe hale-bas de bômeLa drisse de grand voileBosse de bordureLe patarasLe nerf de chuteLes penons de grand-voile Régler la grand voile d’un voilier peut sembler basique si on s’en tient à l’écoute. Mais plusieurs outils sont à disposition pour permettre d’optimiser son réglage. Régler la grand voile est un basique quand on commence à naviguer sur un voilier. Lors des premières navigations, on joue surtout sur l’écoute. Mais après plusieurs navigations, et avec de l’expérience, on apprend qu’il est possible de travailler avec le gréement dormant et le gréement courant. Enfant, on peut, et on doit, jouer avec l’ensemble des manoeuvres à disposition afin de régler la grand voile en fonction de la force du vent, de l’allure du bateau, qu’il est possible de conserver une barre plus douce, de réduire la gîte du bateau. Voyons qu’elles sont les possibilités de réglage. L’écoute de grand voile L’écoute de grand voile est la manœuvre de base pour régler la grand voile. L’écoute permet d’orienter la voile en fonction du vent. Plus le voilier sera près du vent, plus la bordure sera bordée. L’écoute passe par un palan de grand voile qui permet de réduire les efforts. Celui-ci peut, éventuellement, être à deux vitesses pour obtenir des réglages très fins, en régate par exemple. L’écoute permet aussi de tendre la chute et d’aplatir la voile. Cela permet de réduire la puissance de la grand voile. La barre d’écoute La barre d’écoute permet, elle aussi d’orienter la voile en ramenant le point d’écoute plus ou moins au vent. Quand on navigue au près, par exemple, on va remonter le chariot de la barre d’écoute. La barre d’écoute permet d’équilibrer le bateau, ce qui est très important pour le barreur. Si elle est parfois absente sur certains voiliers de moins de 8 mètres, toutes les autres unités en sont équipées. Souvent placées au milieu du cockpit pour les unités les plus sportives, elle peut être placée au pied de la descente voire sur le roof sur certains voiliers de croisière. Certaines unités récentes, et les voiliers de course au large actuels, ont leur barre d’écoutes installées complètement à l’arrière du bateau. Le hale-bas de bôme Le réglage du hale-bas est souvent délaissé par certains plaisanciers. Le hale bas est pourtant important pour le réglage du bateau. Il est composé d’un palan fixé en pied de mat jusqu’à la bôme. Le hale-bas permet de tendre la chute et de contrôler le vrillage de la grand voile. Pour résumer, souqué par vent calme, en le choquant quand le vent monte, on va libérer de la puissance dans les hauteurs de la voile. Il est possible d’opter pour des hale-bas rigides. Ceux-ci ont surtout l’avantage de pouvoir se passer de balancine. La drisse de grand voile Là encore, en croisière, on ne pense pas toujours à utiliser la drisse pour régler ses voiles. Une fois la voile hissée, on oublie souvent la drisse. Pourtant la drisse permet de tendre le guindant et modifier l’ampleur et la position du creux dans la partie haute. Par petit temps par exemple, il est intéressant de mollir la drisse pour gagner de la puissance et inversement par gros temps. Bosse de bordure Etarquer la bordure permet de modifier là aussi, l’ampleur du creux, mais dans la partie basse. Cela aura une incidence sur la gite du bateau. Le pataras Le pataras a une incidence sur le réglage du mat. Il permet d cintrer, ou pas, le mât. Cintrer le mât peut être utile quand le vent monte par exemple. Le nerf de chute La fonction du nerf de chute est d’empêcher la chute de la grand voile de battre. Les penons de grand-voile Les penons permettent de régler la grand voile, tout comme les penons d’un génois. Placés sur la chute de la grand voile, ils vont permettre de trouver la limite du faseyment. Ng4sD1o.